ATTENTION : Le spectacle n’est plus joué dans cette mise en scène. Il sera prochainement repris en seule en scène avec musique électronique.
« Le long de la fête foraine morte, mes pas se perdent sous la pluie. Pas un promeneur, pas un chat, ça dégouline de mascara sur mon visage tout ébahi. Tout effaré. Tout est fardé, fardé de gris.
C’est par ces mots que commence la déambulation nocturne d’une femme en quête d’un port. Sur un espace restreint, semblable aux cloisons intérieures qu’elle voudrait repousser, elle laisse défiler ses idées, ses regrets et sa colère. Une danseuse l’accompagne dans sa fuite, dans un ballet incessant de vases et de jeux de miroir. Mais ses pas la ramènent toujours le long de la fête foraine morte.
Ce spectacle interroge les notions de liberté, de contraintes, de destinée. Que signifie être passé à côté, de sa vie, de ses aspirations ? Quels sont les carcans qui « empêchent » ? Les autres ? Les erreurs qu’on ne peut plus rattraper ?
La symbolique paradoxale du vase est omniprésente : existant depuis des millénaires mais fragile, objet ouvert mais qui enferme et peut contenir le vide.
Le texte laisse une part importante à la colère d’une femme sous sa forme la plus animale.
Mais au bout de cela, peut-être, une lumière et un port ?
C’est par ces mots que commence la déambulation nocturne d’une femme en quête d’un port. Sur un espace restreint, semblable aux cloisons intérieures qu’elle voudrait repousser, elle laisse défiler ses idées, ses regrets et sa colère. Une danseuse l’accompagne dans sa fuite, dans un ballet incessant de vases et de jeux de miroir. Mais ses pas la ramènent toujours le long de la fête foraine morte.
Ce spectacle interroge les notions de liberté, de contraintes, de destinée. Que signifie être passé à côté, de sa vie, de ses aspirations ? Quels sont les carcans qui « empêchent » ? Les autres ? Les erreurs qu’on ne peut plus rattraper ?
La symbolique paradoxale du vase est omniprésente : existant depuis des millénaires mais fragile, objet ouvert mais qui enferme et peut contenir le vide.
Le texte laisse une part importante à la colère d’une femme sous sa forme la plus animale.
Mais au bout de cela, peut-être, une lumière et un port ?
Durée : 40 minutes
Texte : Clotilde de Brito
Chorégraphie : Lucile Ségala
Mise en scène : Clotilde de Brito et Lucile Ségala
Regard extérieur : Zouliha Magri
Nous avons présenté pour la première fois le spectacle à la médiathèque d’Erquy (Le blé en herbe) le 28 février 2020. Une deuxième représentation a eu lieu à Noirmoutier le 7 mars 2020 dans le cadre du festival « Eclats de femmes ».
Teaser (version courte) :
Version longue :